Justine vient d'obtenir son Bachelor en Art visuel à la Haute école d'art et de design (HEAD – Genève). Son travail questionne le corps et sa représentation dans notre société contemporaine occidentale. Les cosmétiques, les normes de beauté, les approches médicales et psychologiques alimentent ses recherches sur la notion de corporalité. Elle s'exprime à travers la photographie, la sculpture et la vidéo. Dans le désir d'élargir sa pratique artistique, Justine Salamin entame un master à La Cambre – Bruxelles (Belgique).
Justine Salamin nous emmène dans un voyage singulier, celui des derniers instants d’un corps. Plus aucun souffle n’y passe, les liquides sont devenus épais, immobiles, et tout semble attendre, silencieusement. Sur ces photographies, le corps est devenu sculpture. Seul le temps traverse désormais la chair, fait encore battre le pacemaker, et bientôt, oeuvrera à transformer ce qui reste de nous pour que la vie naisse à nouveau, inlassablement. «Boulevard de la Cluse» dévoile ainsi ce bouleversant abandon, de quelques heures, de quelques jours, d’un corps vers les ténèbres.
Justine vient d'obtenir son Bachelor en Art visuel à la Haute école d'art et de design (HEAD – Genève). Son travail questionne le corps et sa représentation dans notre société contemporaine occidentale. Les cosmétiques, les normes de beauté, les approches médicales et psychologiques alimentent ses recherches sur la notion de corporalité. Elle s'exprime à travers la photographie, la sculpture et la vidéo. Dans le désir d'élargir sa pratique artistique, Justine Salamin entame un master à La Cambre – Bruxelles (Belgique).
Justine Salamin nous emmène dans un voyage singulier, celui des derniers instants d’un corps. Plus aucun souffle n’y passe, les liquides sont devenus épais, immobiles, et tout semble attendre, silencieusement. Sur ces photographies, le corps est devenu sculpture. Seul le temps traverse désormais la chair, fait encore battre le pacemaker, et bientôt, oeuvrera à transformer ce qui reste de nous pour que la vie naisse à nouveau, inlassablement. «Boulevard de la Cluse» dévoile ainsi ce bouleversant abandon, de quelques heures, de quelques jours, d’un corps vers les ténèbres.